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N°27 « Des pouvoirs locaux dans l’attente de la décentralisation (Niger) », par J.P. Olivier de Sardan (2004)

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  • Date de création 16/06/2022
  • Dernière mise à jour 16/06/2022

N°27 « Des pouvoirs locaux dans l’attente de la décentralisation (Niger) », par J.P. Olivier de Sardan (2004)

Au Niger, contrairement au Mali, la décentralisation reste encore un projet. Mais, malgré diverses péripéties, des changements de stratégie, et de nombreux reports, tout le monde s’accorde à penser qu’elle est inéluctable, ne serait-ce que du fait de la pression des bailleurs de fonds. Aussi un certain nombre d’acteurs se positionnent-ils d’ores et déjà dans cette perspective.  Un « Observatoire de la décentralisation »   Parmi ceux-ci, on peut compter, en un certain sens, nous, les chercheurs : nous avons en effet mis sur pied à Niamey un « Observatoire de la décentralisation »  , qui a lancé une première vague d’enquêtes sur quinze sites à travers le Niger, dès avant la mise en œuvre de la réforme elle-même, ceci afin de comprendre aujourd’hui quels sont les principaux dispositifs politiques locaux repérables dans le pays, et, demain, comment ils seront modifiés (ou non) par la décentralisation. Le local est considéré, dans ce programme de recherche, d’une part comme une « arène », où interviennent des acteurs hétérogènes dotés de ressources locales et extra-locales variées (chefs, notables, ressortissants, hommes politiques, commerçants, personnels de projets, fonctionnaires, associations, etc.), et, d’autre part, comme un « espace public (et étatique) émergeant », où des représentants de l’Etat et des représentants ou segments des populations interagissent autour de normes multiples (locales, régionales et nationales), souvent non stabilisées, concernant l’accès aux biens et services collectifs et publics.

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