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N° 52 « Les pouvoirs locaux à Balleyara (2) », par N. Issaley (2006)

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  • Date de création 16/06/2022
  • Dernière mise à jour 16/06/2022

N° 52 « Les pouvoirs locaux à Balleyara (2) », par N. Issaley (2006)

Inscrite dans le cadre du programme « Observatoire de la décentralisation au Niger », la présente étude est une suite à l’enquête de référence qui a été faite par Hahonou en 2002. Il s’agissait dans la première étude de procéder à une recension des pouvoirs locaux dans l’arène de Balleyara et aussi de décrire la situation sociopolitique et économique dans son contexte historique. L’étude a aussi souligné les perceptions préexistantes à la communalisation. L’étude que nous présentons a pour objectif de dresser un bilan de la commune, bien que cette dernière soit d’installation récente (à peu près un an). Il s’agit aussi de faire ressortir les stratégies des différents acteurs depuis les élections jusqu’au moment où la commune est devenue une réalité concrète. Quels enjeux sont liés à l’enchevêtrement de la commune (et de ses protagonistes) avec l’Etat, la chefferie traditionnelle ou les institutions de développement ? L’accent sera aussi mis sur les différents conflits qui traversent cette commune, en tenant compte de l’objet du conflit, des acteurs impliqués et des logiques de ces acteurs. L’enquête a été divisée en deux phases principales, la première phase va du 11 au 17 juillet et la seconde du 3 au 11 août 2005. L’enquêteur a travaillé du 15 au 25 octobre 2005. Les entretiens ont débordé le cadre du chef-lieu de commune, pour toucher certains villages comme Tabla, Léllé, Banikossey, Timboran Hatta, Kogori, Banizoumbou. Au niveau de la capitale, nous avons fait des entretiens avec le chef de canton (qui y réside), un des deux députés de la commune et quelques ressortissants. Nous ne sommes pas étranger à cette zone d’étude. Nos parents en sont originaires et y vivent. Cette situation du « chez soi » a, à beaucoup d’égards (pas toujours et pas en tout lieu), facilité nos contacts et a fait que certains entretiens ont pris une tournure confidentielle. En plus, l’absence de gêne en notre présence a favorisé certaines de nos observations. Nous avons totalisé une cinquantaine d’entretiens dont 27 ont été enregistrés et nous avons pu assister à trois réunions à la mairie (mais non du conseil communal).

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