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N°45 « La prise en charge des PvVIH et l’observance des ARV à Niamey (approche socio-anthropologique) », par JP. Olivier de Sardan, A. Diarra, A. Moumouni (2006)

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  • Date de création 16/06/2022
  • Dernière mise à jour 16/06/2022

N°45 « La prise en charge des PvVIH et l’observance des ARV à Niamey (approche socio-anthropologique) », par JP. Olivier de Sardan, A. Diarra, A. Moumouni (2006)

Ce rapport s’appuie sur les enquêtes menées par le LASDEL entre septembre et décembre 05 à Niamey, sur la base d’un financement de l’ONG SOLTHIS. Une première phase d’enquête collective (procédure ECRIS) a précédé une phase d’enquêtes individuelles. Un rapport provisoire a été discuté lors de deux séances de restitution à l’Hôpital national de Niamey et au CTA, et nous avons tenu compte des remarques faites à cette occasion. Nous remercions l’ensemble des personnes interrogées, personnels de santé, personnes vivant avec le VIH (PvVIH), responsables d’associations ou d’institutions concernées par le VIH, qui ont accepté de nous consacrer du temps. Il faut préciser que l’approche socio-anthropologique retenue ne correspond pas aux critères habituels des études de santé publique ou d’épidémiologie. On ne trouvera ici ni chiffres, ni courbes, ni pourcentages. Nous nous sommes en priorité intéressés aux discours de l’ensemble des acteurs concernés à Niamey par la prise en charge des PvVIH, aux difficultés qu’ils énoncent et aux problèmes qu’ils décrivent, en tentant de confronter et d’analyser ces discours. Nous avons procédé aussi à diverses observations (consultations, réunions). Pour les personnels de santé, il ne faut pas s’attendre ici à des révélations fracassantes. Cet univers quotidien que nous décrivons ici est le leur. Mais notre statut d’observateurs extérieurs et notre métier de socio-anthropologues nous permettent par contre de mettre en évidence une série de problèmes, de détails, de faits quotidiens et de représentations, qui, bien que connus par les intéressés, au moins de façon latente, et parfois discutés en privé, ne sont pas pris en compte dans les rapports et textes officiels, dans les déclarations publiques, et dans les politiques de prise en charge.

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